mercredi 22 novembre 2017

Lettre à Antònia

Lettre à Antònia

Chére Antoinette,
Je ne peux pas croire que tu aies décidé de rentrer à Majorque aprés cinquante ans. Je suis très surprise, mais je suis aussi ravie et j'espère que ta retraite (ton retrait) sera joyeuse(x).

Si j'étais toi (vous), j'attendrais un peu avant de décider de (a) rentrer pour avoir toutes les choses importantes vraiment contrôlées. Je veux te dire que louer ou acheter une maison ici est très difficile maintenant. Nous pouvons t'aider à chercher et tu peux vivre avec nous jusqu’à ce que tu trouves un bon lieu.

En parlant de Majorque, tu peux imaginer qu'elle est très changée et il ne reste rien de l'Île du calme que tu connaissais. Cette année, douze millions de touristes sont venus et repartis, et tout ça se concentre en(dans) six mois. Par exemple, cet été nous ne pouvions pas aller à la plage, trop de voitures, trop de touristes, trop de chaleur, trop de tout. Mais le mois de novembre est arrivé avec sa tranquillité habituelle, le bon soleil, les routines scolaires, et certains (quelques) dimanches en marchant dans la Serra de Tramuntana tu peux penser que tu es au paradis.

En attendant ta réponse, je t'embrasse amicalement.

Francina (Flexas)

Bon travail Francina 15/20

lundi 20 novembre 2017

Lettre Antonia

     Chère Antonia:
   Après ta lettre qui m’annonçait ton retour à Majorque, je suis très contente. Après toute une vie en Australie, cela va supposer pour toi un vrai changement, cela n’empêche (enpeche) pas que nous sommes ravis de te retrouver.
  Majorque  a beaucoup changé(e), on dirait qu’elle est (avais) devenue plus cormopolite, (Je ne comprends pas le sens de cette fin de phrase) arrivaient, on voie, un grand aeroport, et d'(e)urbanisations de construct(c)ions modernes.
  Aujourd’hui nos plages sont toujours aussi belles, mais entourées d’hôtels et d’une grande infrastructure, qu’il fallait bien faire pour le tourisme, cela a(à) donné du travail à tout le monde, avec aussi des routes pour les déplacements de ceux-ci (qui sont ces personnes ?) en voiture. Bien que la saison soit plus longue, le tourisme n’arrive pas encore en hiver, où tout s’arrête(ètte) de novembre à mars. La vie de Palma ressemble à celle de n’importe quelle autre ville, plus version "Île de la tranquilité" (de “Isla de la Calma”) à part le dimanche où tout le monde se rend dans son (est au) village d'origine (encore).
  Après 2008, le boom du tourisme n'a plus suffi (e suffit pas) pour tout le monde, car les jeunes ont de plus en plus de mal à trouver du travail, à(de) se loger, et à(de) pouvoir fonder une famille. Plus de démocratie n’arrange en rien les fraudeurs, surtout en politique.
   Mais c’est encore une île charmante, avec une histoire fantastique, comme celle de l’Archiduque Luis Salvador d’Autriche, de Chopin, Georges Sand, Miró, etc(ct)…., et la gastronomie authentique majorquine, que tu connais bien. Malgré(e) l'arrivée de la nouvelle cuisine française.
  Tout de suite, tu reprendras tes habitudes de jeunesse, dans notre petit(e) village, qui(e) te rendront(s) la vie de famille que tu avais avant de partir.
  On t’atte(a)nd avec impatience.
  On t’embrasse.


          Catalina

Sympathique lettre Catalina  13,5/20

Ma poupée

         MA POUPÉE

 Je vais vous parler d’un souvenir de mon enfance. De ma poupée qui(e) m’a le plus marquée.
 Quand j’étais petite, j’aimais jouer dans une chambre où il y avait beaucoup de trésors!.
 Quand un jour j’ai découvert dans une petite armoire, cachée, une grande boîte fermée. Ma curiosité d’enfant était très grande pour savoir le trésor qui était caché. Je l’ai(vais) ouverte, et j’ai(vais) vu une ex(s)traordinaire poupée, la plus jolie du monde, un rêve. Elle avait le visage en porcelaine, les cheveux blonds, les yeux bleu(e)s, et était habillée avec une robe de couleur rose, des chaussettes blanches et des chaussures noires, je n’avais jamais vu une poupée avec des chaussettes, si je la penchais elle fermait les yeux et pleurait(s).
 Je n’os(s)ais la quitter les yeux (d’elle). Je l’ai(vais) prise dans mes bras toute émue et avec beaucoup  de tendresse.
 Tout de suite je suis allée retrouver ma maman. Elle m’a raconté son histoire. C’était un cadeau de mon oncle, qui à ce moment-la habitait à Rome. Quand il était venu pour me connaitre, il m’avait apporté ma premiére poupée.
 Aujourd’hui encore je lui rends une petite visite avec émotion.

Un très joli souvenir Catalina 14/20



dimanche 19 novembre 2017

Mon objet préferé

Mon objet préferé

L'objet que j'aime le plus c'est la fleur (les fleurs), toutes les fleurs.

Ils sont de plusieurs couleurs et ont une bonne odeur. Elle sont très jolies. Dans ma maison j'ai un petit jardin où il y a beaucoup de types de fleurs: roses, géraniums, lys, ... Dans l'intérieur de ma maison il y a aussi des fleurs et des plantes.

Toute ma famille sait que j'aime les fleurs et les plantes et ils m'achètent pour mon anniversaire.

Je pense que les fleurs sont nécessaires dans notre vie. Ils donnent la vie et la couleur à la journée. Ils sont utilisés pour décorer, pour les fêtes, pour s'acclimater et bien sentir, ...

Pour moi ils sont très agréables au printemps. J'aime le parfum des fleurs. J'aime les colonies de fleurs et les parfums.

Les fleurs sont très chères et leur durée de vie n'est pas très longue. Nous pouvons acheter des fleurs artificielles mais ce n'est pas la même chose.

Les fleurs sont un cadeau de la nature.

ma trousse

Une trousse, c'est un obje(c)t qu'on a eu presque(-ce) tous /que tout le monde a ou a eu. Je peux dire(ce) que la (ma) trousse que j'ai eue au (du) lycée et jusqu'au (le) bac(h) (c')est spéciale, pour tout c'est que j'ai vécu avec elle.
C'est vrai, ça resemble à une blague mais attendez, si nous réflé(i)chissons on est resté (a réstée) beaucoup(e) de temps avec une trousse.
Je me souviens de ma première(er) lettre (carte) d'amour(e) qui est (à) restée pendant une semaine dans ma trousse ou (où) les t(o)ustes pour l'examen d'histoire, vraiment dans ces (cettes) moments-là c'est pas seulement une trousse je croyais(issis) que c'était l'enfer et que je me brûlerais(t) si je la(e) touchais.
Elle a (À) été avec moi aux examens les plus faciles et aux moments où je suis (cettes qu'on) resté à pleurer (ploure) toute la soirée.
Je l'ai mordue de (la) colère à caus(s)e d'une prof(f)e, cela m'a empêché de commettre plusieur(e)s meurtres.
Finale(l)ment qui n'a pas joué(e) à jeter sa (la) trousse à une camarade de classe. Je pense que ma trousse ce n'est  pas seulement(e) un obje(c)t c'est pres(ce)que une copine.

13/20

Mon objet préféré

Mon objet préfé

Cela (Il) m'a pris quelque temps de (en) décider de quel objet j'allais (e dois) vous parler, mais mieux vaut tard que jamais. Je dirais même, vieux motard que jamais.
Si quelqu'un me demandait(e) quel objet je prendrais sur (dans) une île déserte (dessert), j'ai(e) deux réponses très différentes. Mon côté rationnel dirait qu'un portable, logiquement. Aujourd'hui vous pouvez tout faire avec cet objet, c'est incroyable ! Je penserais qu'en quelques minutes je pourrais (eux) être sauvée. La question(ne c')est, est-ce que je veux abandonner l'île? Mettons-nous dans la supposition que j'aimerais rester sur (à) l'île, ma réponse change complètement. Je n'aurais pas besoin de technologie et je suis d'accord avec mes collègues (parce que j'ai lu leurs (ses) rédactions) que je prendrais des albums photo, des souvenirs de mon enfance, des objets qui(e) pour d'autres personnes ne sont pas signifiants.
L'objet que (duquel) je veux décrire, ce(il) n'est pas un appareil à (pour) apporter quelque part (à quelque lieu), ni (pas) non plus un concept immatériel. Il est rond, il peut être décliné en beaucoup de dimensions et de différentes couleurs. Normalement, il se met dans la salle à manger ou dans une chambre, mais toujours dans la maison. C'est (et) un objet avec lequel je parie que vous avez joué quand vous étiez (avez été) petits, en cachette de vos parents, je me souviens de mon père : " Ne touche pas à ça !!! ce n'est pas pour jouer!". Je ne l'ai pas écouté ('ai pas l'écouter), j'ai aimé regarder cet objet et le faire rouler pour après, avec mes doigts l'arrêter soudain et imaginer comme de ce pays était loin, qui y habitait (e) ou (où) quand j'y irai. Je suis sûre que maintenant vous savez déjà de (ce) quoi (que) je parle. Je crois que ma passion pour le voyage (voyager) est (a été) née là-bas et mon amour pour les îles aussi, d'où je ne veux jamais (pas) être sauvée.


C’est un globe terrestre, une mappemonde.

Souvenir très original Montse. Pense stp à mettre ton nom de famille pour que je sache à qui attribuer cette note. Merci.

14/20

mercredi 15 novembre 2017

Chère Antònia,

Je suis très contente de savoir que tu vas rentrer à Majorque ! L’île n’est plus(pas) la même alors tu pourras la redécouvrir. Je crois que tout a changé, mais ce lieu préserve son âme encore, donc tu la reconnaîtras facilement.

D'abord (Au début), il y a beaucoup plus d’étrangers qui habitent ici, des gens qui sont venus de différents pays. Ça a beaucoup changé l’île, où la diversité se trouve partout : dans la rue, sur les(aux) lieux de travail, pendant les fêtes de(u) villages, dans (à) les écoles, dans (sur) les conversations… Je pense que ça a donné plus de couleur et de dynamisme à Majorque, et nous avons appris à comprendre et à respecter d'autres cultures.

Ensuite, le territoire a empiré à cause de l’absence de critère….ou non, à cause du fait de suivre un unique critère (l’argent). La côte d’Andratx, où nous avons grandi, fait (de) peine à voir, et pour les personnes âgées de notre famille, c’est terrible de voir (la façon) comment les hommes politiques ont permis cette catastrophe.

Finalement, il y a plus d’offre culturelle dans (à) l’île et chaque semaine on peut planifier (des) différentes choses à faire. Et, comme je te l’ai dit, il y a des choses qui(e) restent intactes… pour moi Majorque sera toujours l’île de la tranquilité (calme) ! Tu vas te sentir très bien ici.

Je t’embrasse
Paloma Ll.

14/20

mardi 14 novembre 2017

écriture collective

Il y a déjà quelques années, j’étais allée passer qualques jours dans la maison familiale où j’ai rencontré(e) tous les membres de ma famille. Mais je me suis rendue compte que la femme de mon cousin Antoine n’était pas là; j’étais surprise de son absence parce que la lettre que j’avais reçue disait que Sophie annoncerait la naissance de jumeaux. Alors je suis allée dans (à) la chambre d’Antoine et dans un tiroir, j’ai trouvé des photos un peu floues de deux hommes souriants. Qui étaient ces gens?
J’ai décidé de partir à l’aventure en Australie avec les photos et cette fame(o)use lettre postée de là-bas.
Le billet était très cher donc j’ai opté pour faire du coach surfing quand soudain un ami m’a dit qu’il y allait aussi et qu’il voudrait partager les frais. Quand nous sommes arrivés à Sidney, il m’a surpris. Il avait réussi(r) à disposer(ar) d’une maison de luxe que son ami australien lui avait laissée pendant son dernier séjour dans le pays.
Là-bas, c’était incroyable j’ai rencontré des personnes inconnues qui étaient, ô surprise, des descenda(e)nts de la personne qui avait acheté la maison de ma grand-mère. C’étaient d’agréables copains, qui s’appelaient Pierre et Jean. Ils n’avaient pas eu d’enfants mais ils étaient en train(t) d’en adopter.

Alors je me suis souvenue (souviens) que Pierre et Jean étaient les deux hommes souriants sur les photos. Quelle coïncidence!  Seront-ils les vrais parents des jumeaux de mon cousin Antoine ?

Lettre à Antònia

Palma, le 13 novembre 2017
Ma bien chère Antònia,

Merci beaucoup pour ta dernière lettre qui m’a fait bien plaisir.

Je vais tenter de répondre à tes questions et de te donner quelques conseils. 

Tu me demandes comment faire pour t’adapter à ta nouvelle vie dans le petit village où tu es née. Le retour à (rentré) ne sera(it) pas facile, parce (car) que l’Île a beaucoup changé (est très changée) et cependant Betlem reste le même. En premier lieu, ta famille n’habite plus à Betlem, parce qu’ils ont acheté une maison à Palma ; il n’y a pas de travail dans le village et dans les faits tous les gens ont déménagé dans les villages avoisinant Betlem. Il n'y a que 10 habitants (voisins) au total (en totale) et tous sont très âgé(e)s.

Comment tu le sais, le régime politique en Espagne a (est) changé radicalement. Maintenant, la moitié de Majorque s'est (se sont) engagée(s) avec (dans) le parti politique de droite et l’autre moitié avec (dans) la(e) gauche, tu peux choisir ce que tu veux.

Donc voilà, c’est tout ! Je te souhaite un bon retour à (rentré dans) Majorque et j’attends avec impatience ton arrivée.

Bises


Irene

parce que = car

Ta lettre est un peu courte Irene. 12,5/20

lundi 13 novembre 2017

Mon objet préferé Red carmen

Je veux vous parler d’un meuble, concrètement de deux, les fauteuils que j'ai dans ma chambre à coucher. Ils sont tous les deux égaux, et (en) font partie de sa(la) décoration  habituelle, quelle que soit la maison que j’habite.
Dans (En) ma vie j’ai fait beaucoup de déménagements, c’est pourquoi j’aime avoir quelque chose bien à moi, spécialement intime, (proche) à coté de moi.
Ils ont des formes courbes, en bois, une assise basse, et sont tapissés d’une bonne étoffe, à fond beige et à rayures verticales de couleur jaune-moutarde (mostarde) et bordeaux.
Ils ont appartennu à ma grand-mère, la mère de mon père, qui(’elle) était ma marraine aussi.
Bien que (Malgré) nous soyons (sommes) beaucoup de petits-enfants, j’étais(t) sa préfée.
Alors ces fauteuils, je les ai reçus en héritage (és) avec illusion. Donc, ils sont très vieux, je les ai retapissés et ils semblent un peu plus neufs, mais ils ne sont pas précisément confortables.


Attention Carmen, Mon objet préferé Red carmen, ce sont des étiquettes, pas un titre.

13/20

dimanche 12 novembre 2017

Mon Objet Préféré


Mon Objet Préféré

Chaque fois que quelqu'un me demandait quel objet j'emporterais (apporterais) sur une île déserte, je répondais toujours qu'un dictionnaire avec un cahier et un stylo seraient mon choix, parce que les mots sont ma passion. Pour exprimer les concepts et les sentiments, il suffit d'avoir une provision illimitée de vocabulaire.

La communication verbale est le secret de la connexion entre tous les gens du monde, leurs cultures, leurs croyances.
Avec des mots on peut tout décrire, même les choses qu'on ne peut pas voir avec les (des) yeux.
Avec des mots on peut créer des histoires magiques, on peut toucher les sens des personnes en transmettant des émotions, des expériences, des connaissances. Des mots peuvent évoquer le souvenir d'une expérience lointaine que nous ne rappelions pas (d')avoir vécue. Ils peuvent nous transporter dans le (au) passé ou dans le (au) futur comme une machine à remonter le temps.

Certains (Des) mots ont leur propre grande histoire dans le monde... ceux, qui ont été bien combinés et exprimés, ont déterminé le cours du monde et de nos vies. Ils ont été capables de créer de fortes chaînes d'amitié, d'amour ou d'hostilité. Ils nous ont surpris, fait rire, pleurer, enrager ou tomber amoureux. Les plus profonds ont été entrelacés en parfaite harmonie pour caresser ou poignarder l'âme.

Des mots... ces choses intangibles qui parfois touchent le coeur, parfois (ils) blessent, ou encore (et parfois ils) disparaissent dans le vent. Des mots forts* mal composés et mal utilisés peuvent provoquer des guerres qui perdurent dans le temps, génération après génération.

Avec des mots, on peut visualiser une image que l'on n'a jamais vue, sentir un parfum, goûter un aliment que l'on n'a jamais mangé, ou sentir la texture de quelque chose que l'on n'a jamais touché. Quand quelqu'un m'a dit que la peau d'un requin donnait (avait) la sensation d'un papier de verre, je pouvais la sentir sans la palper !

Oui, tout cela est le pouvoir des mots. Et ils sont tous concentrés dans les pages d'un objet qui tient dans la paume d'une main - un dictionnaire, mon objet préféré...

Haley

se rappeler qlch = se souvenir de qlch

* des mots forts (fort de fortement ou forts fuertes?

Très belle rédaction, très poétique, félicitations !

18/20

Un sac á dos pour bébés_Mon objet préféré, RED Elena

J'adore faire des promenades dans la montagne. J'aime arriver dans les lieux où il n'y a pas personne, par exemple aller aux plages qui ont une cheminée difficile pour y accéder.
C'est pour ça que quand mon fils est né, je pensais que je ne pourrais pas continuer (avec) mes promenades jusqu'à ce qu'il ait grandi.

Mais, j'ai eu de la chance ! car (et) mon amie Sara(,) m'a(i) offert un extraordinaire cadeau : "un sac à dos pour porter les bébés".

J'étais très contente quand je l'ai vu. Il est rouge et blancet (, il) est très confortable. Tu peux porter le bébé devant ou derrière.
Quand le bébé est petit, moins d'un an, c'est mieux de (meilleure) mettre le sac devant, mais quand le bébé pèse plus de 14 kg, à ce moment-là il vaut mieux (c'est trop meilleure) mettre le sac derrière.
C'est un objet très utile, parce que grâce à (avec) lui, j'ai pu arriver jusqu'à des lieux où tu ne peux pas passer avec une poussette.

Et aussi, c'est un objet qui m'a permis(t) de sentir mon bébé contre (à côté de) moi. Et il semble (parei que(i) mon fils (il) était aussi très à l'aise (confortable) dans le sac, parce qu'(e)il dormait chaque fois que je le portais.

Pour terminer je veux dire(,) que mon amie Sara utilisait le même sac pour porter son fils, donc  c'est un objet qui compte doublement pour moi.


Ton fils est à l'aise dans le sac qui est très confortable.

13,5/20

samedi 11 novembre 2017

L'orange de chiffon de ma fille

L'orange de chiffon de ma fille

L'orange de chiffon de ma fille est un jouet pour bébés. Elle est ronde avec un trou au centre pour (parce) que l'enfant puisse la saisir (peut la prendre). Elle a aussi une feuille comme une orange authentique, et (mais), c'est fantastique, elle a aussi une étiquette ! Je vous explique :

Quand ma fille était bébé, elle était adorable. Elle dormait beaucoup, elle ne pleurait jamais. Bon, jamais... ce (il) n'est pas totalement vrai, parce qu'elle avait un don. Quand je m'asse(o)yais à (la) table pour manger (faire mon repas), elle pleurait automatiquement et elle arrêtait seulement de pleurer quand je lui donnais mon doigt et qu'elle le prenait avec sa min(i)uscule main. Alors, je ne pouvais pas manger.

À ce moment-là, j'ai eu l'idée de lui acheter un jouet qu'(lequel) elle pourrait (pouvait le) prendre au lieu de mon doigt et je lui ai acheté cette (l')orange de chiffon. Je pensais que la feuille de l'orange était trop petite pour qu'elle pût la prendre avec la main, mais ce n'était pas le cas (cela n'a pas été tel), la feuille était trop grande pour sa si petite main !!! Alors, elle a pris l'étiquette et ma petite fille a ainsi arrêté de pleurer pendant que je mangeais. Donc elle a final(l)ement adoré son jouet.

Aujourd'hui, ma fille a déjà 22 ans, mais son orange de chiffon est encore sur l'étagère de ma chambre à coucher.

14/20

Mon vélo est rouge


Quand j'étais (une) enfant je n'avais pas de (un) vélo, c'est pourquoi que je faisais du vélo chez mes amis. Je me souviens de cette situation sans regret(te) mais je me rappelle que je voulais avoir un vélo. Il y a deux ans, (que) mon mari m'a fait une grande surprise : il m'a offert un vélo pliant pour(ar) mon anniversaire. Il est très fonctionnel parce que je n'ai pas besoin de le laisser attaché et je peux le prendre avec moi partout.
Dans (À) ma ville, un vélo est le meilleur moyen du transport, le plus écologique et le moins polluant.
Avec un vélo on peut transporter de tout, les enfants, le sac de (à) provisions, le sac de (à) livres, etc. et en faisant du vélo on fait de l'exercice physique aussi.
Tout ça c'est bon avec mon vélo rouge !

13,5/20

Mon Motoretta-II

Je devais avoir entre dix et douze ans quand mes parents m’ont fait un des cadeaux qui m’ont plus marqué pendant mon (l’)enfance. Ce n’était pas vraiment mon premier vélo, mais le premier qui n’était pas pour (à enfants) petits et qui était seulement à moi. Jusqu’à ce moment-là j’avais dû partager un autre vélo avec ma sœur, qui est plus grande que moi et qui, donc, avait priorité pour le(a) monter.

Mon vélo était un Motoretta-II et avec lui (ceci) je pouvais circuler aussi bien sur le bitume que sur les chemins de pierres, car (donc) il avait des roues de cross.

Tous les étés, et aussi certains weekends, je prenais mon vélo et je sortais avec mes frères et mes amis pour découvrir des lieux secrets, inconnus pour nous jusqu'à ce moment. On se déplaçait (bougeait) dans Portocolom et sur (par) les chemins des alentours de (de la campagne proche(aine) à) Felanitx.


C’était magnifique cette sensation de liberté que le vent contre nos visages nous donnait !

15/20

jeudi 9 novembre 2017

Une histoire de plus-que-parfait

Il y a déjà quelques années, j'étais allée passer quelques jours dans la maison familiale où j'étais née quand j'ai découvert que j'avais été adoptée. Ma surprise avait été si grande que je me suis évanouie. Quand je suis revenue à moi, je me suis rendue compte que j'avais vécu 30 ans sans le savoir.

J'ai décidé de partir à l'aventure avec les photos et la lettre que j'avais trouvées dans la valise de ma grand-mère. Elle était née au Mexique, où elle était journaliste et elle avait beaucoup voyagé. Elle avait connu beaucoup de gens et un jour, elle était tombée amoureuse de mon grand-père qu'elle avait beaucoup aimé. Ils étaient revenus à Majorque et ils y avaient vécu heureux. Mais j'avais voulu connaître leur histoire.

Je me suis rendue compte que je n'avais jamais passé une nuit dan le désert du Sahara. J'étais tombée sur une histoire de mon prof de yoga, sur un voyage au désert du Sahara. En ce moment, l'idée de voyager m'avait séduit. Le jour après, j'avais téléphoné à mon amie et nous avons décidé de préparer le voyage. Quand nous sommes arrivées à Marrakech, le guide nous a proposé de faire une excursion en chameau au désert de Merzuga.

Une fois arrivée dans leur pays natal, c'était incroyable, j'avais rencontré des personnes qui vivaient dans l'intérieur d'une grotte et qui étaient habillés de façon bizarre. Cependant, ils avaient été très intéressants pour moi car ils avaient bien connu mes grands-parents. Tous les jours, ils étaient allés à la rivière pour faire de la méditation sur l'eau, car ils avaient développé l'habileté de se transformer en  papillon.

Quand je suis rentrée dans mon pays, j'ai écrit un livre qui racontait toutes les aventures dque j'avais vécues. Avant d'écrire, je devais ordonner chronologiquement tout ce que j'avais fait afin de ne rien oublier. Quand j'avais déjà tout ordonné, j'ai pu commencer une grande histoire.

mercredi 8 novembre 2017

Lettre amicale à Antònia

Ma chère Antònia,

Je suis très contente de savoir que tu as décidé de rentrer aux Baléares après plus de cinquante ans de vie (d’avoir vécu)  à Sidney.

Je crois que tu vas trouver que tout a changé à (l’île de) Majorque, bien que certaines choses ne changent jamais.

L’île de Majorque a été exploitée, en grande partie par le tourisme, depuis les années soixante. On a construit trop d’hôtels sur la côte, des complexes touristiques qui sont déserts en hiver, des discothèques, des centres commerciaux, etc (etcetera).  En été,  il est difficile d’aller à la plage et  de se baigner  parce qu’il y a trop de monde qui veut se délecter des eaux cristallines et du sable naturel.

Malgré tout cela(ça), tu seras très contente de savoir que la mentalité des Majorquins a beaucoup changé(e), et aujourd’hui il y a près d’un million d’habitants sur (à) l’île, qui habitent principalement à Palma, la  capitale, et  presque quatre-vingt-dix mille habitants proviennent  de l’étranger.  Nous avons plus de cent cinquante nationalités  différentes qui proviennent de plusieurs pays  tels que l’Allemagne, la France, le Royaume-Uni, la Russie  et l’Australie.

En ce qui concerne  notre village natal(e), il continue à être toujours aussi calme et magnifique. On dirait que le temps n’a pas passé. J’ai parlé avec une voisine qui veut vendre sa maison et elle m’a dit qu’elle te fera un prix réduit  si tu la lui achètes directement. Je crois que cette nouvelle te fera très (beaucoup) de plaisir ! L’évolution des prix de l’immobilier  à Majorque est (sont) à la baisse parce que le gouvernement a limité l’offre de logements de location pour les touristes.

Je n’arrive pas à y croire que tu rentreras à Majorque dans (en) moins d’un mois. Ce (Il) sera merveilleux de pouvoir nous promener dans (par) la campagne comme nous le faisions quand nous étions petites (des) filles.

Je t’embrasse et j’attends ton arrivée avec une grande impatience.

À bientôt,

Paloma

Bon travail 15/20

Mon objet préféré

J’aime beaucoup mon judogi de compétition ; je l'aime beaucoup parce que quand je le porte je me souviens de toutes les compétitions nationales(ux) et internationales(ux) auxquelles (où) j’ai participée avec lui, de tous les voyages que nous avons fait(e)s  ensemble.

Mon judogi de compétition n’est pas seulement un vêtement blanc ou bleu de marque Mizuno pour pratiquer du judo ; il fait (est) partie de ma vie. Il porte mon nom au dos et j’en suis très fière.

Je peux dire que je l’aime beaucoup aussi parce que ma famille l’a acheté pour moi, car il était très cher  et je n’avais pas beaucoup d’argent quand j’avais 15 ans !


Je crois qu’il a été le plus beau cadeau qu’on m’ait jamais offert  et aujourd’hui ma fille le porte aussi quand elle va lutter. Cela  me rappelle ma jeunesse, quand j'aimais le judo plus que ma vie.

mardi 7 novembre 2017

Lettre à Antònia

Palma, le 7 novembre 2017

Salut Antònia !

Je suis content de savoir qu’on te verra de retour à Majorque bientôt ! Je pense que tu ne vas rien reconnaître après tout ce temps en dehors de l’île. En tout cas je vais te décrire un peu la situation actuelle ici pour que ta rentrée ne soit pas si difficile.
Je ne connais pas très bien la vie en Australie, mais, à mon avis, l’atmosphère qu’on respire ici n’est pas si bonne : beaucoup de corruption dans tous les domaines, un chômage élevé, de nombreux politiciens inutiles (toutefois (qu’)on est mieux qu’avec Franco), tensions entre différent(e)s territoires dans l’état, etc. Les salaires, ils ne sont pas non plus aussi bons qu'(comme ceux) en Australie, mais comme tu es déjà retraitée ça ne sera pas un problème pour toi.

Alors, si j’étais quelqu'un qui n’a pas à travailler, retourner à Majorque n’est pas une mauvaise idée du tout. On a un climat magnifique, des paysages spectaculaires et les gens, dès que tu les connais, (ils) sont très aimables et attentifs. Peut-être l’inconvénient le plus grand qu’on ait ici est-il (soit) la massification due au tourisme, mais si tu restes à Sencelles pendant les mois d’été ça ne sera pas très gênant (fait rien) !

Enfin, bienvenue à Majorque et à bientôt!

Un gros bisou


Toni

15/20

mercredi 1 novembre 2017

Mon objet

   Les trois objets.lle
   Aujourd'hui à l'atelier d'écriture, la prof nous a demandé d'écrire s(o)ur nous à partir de trois objets qui sont ou ont été importants pour nous.

    Pour moi, sans doute, le premier objet a été mon ours et pourtant il n'est plus qu'un objet pour moi.

   L'histoire de mon ours est la suivante je le voyais chaque dimanche dans la vitrine d'une papeterie quand j'allais avec ma mère pour rendre visite à mes grands-parents. Je l'aimais bien, mais il n'était pas en vente, il était là comme une décoration.

   Je parlais beaucoup de l'ours avec mes parents, je le dessinais chez mes grands-parents où nous restions de longues (beaucoup d')heures et où je m'ennuyais assez.

   Un jour, mon père a rapporté l'ours chez nous... c'était un cadeau(x) incroyable!, le meilleur pour moi.

   J'ai dit à mes parents que l'ours était formidable mais qu'il avait un seul défaut, pour moi il (l'ours) n'avait pas la(e) tenue adéquate mais celle d'un (de) clown. Ma mère souriait mais n'a rien répondu. Le lendemain, l'ours était habillé avec une culotte à rayures blanches et bleu marine, que ma mère avait cousu pendant que je dormais. Et l'ours était si beau... il pouvait remuer ses pattes, croiser ses jambes, me donner la main pour aller nous promener. Mon (L')ours de couleur châtaigne était pour moi unique au (dans le)  monde.

   J'avais cinq(c) ans en(à) ce temps-et j'ai encore mon ours.

13,5/20

Voici une photo du célèbre ours Paddington que j'ai prise cet été au Pérou pour continuer cette émouvante session souvenir...


Mon objet important

Quand la professeure nous a demandé de choisir un objet important pour nous, j'ai choisi le téléphone rouge qu'il y avait à la maison de mes parents.
Pourtant, cela pourrait sembler une sottise aujoud'hui avec les nouvelles technologies.
La raison pour laquelle ce téléphone est si important pour moi, c'est que pendant ma vie, j'ai habité loin de mes parents, et je leur ai beaucoup manqué.
Tous les jours de bonne heure, ma mère me passait un coup de fil pour me saluer et me souhaiter une bonne journée. Après, quand la nuit tombait, nous parlions et nous nous racontions notre (la) journée.
Grâce à cela, mes enfants étaient très unis à leur grand-mère. Encore aujoud'hui, alors qu'elle ne vit plus, ils gardent un joli souvenir d'elle.
Quand à moi, je rends visite à mon père, je vois le téléphone et je m'imagine quand elle m'appelait.

Objet émouvant en effet Montse.

15/20