Ne me quitte pas
Ça dépendra de chaque moment et cela peut facilement changer selon l’époque ou l’(etat d’)hume(d)ur de chaque personne.
Il y a une chanson française que j’aime depuis l’adolescence pour sa (ça) mélodie et pour ses paroles (sa lettre). Elle a été versionnée plusieurs fois par de nombreux chanteurs(ants) et (avec) dans beaucoup de langues, mais à mon avis, la meilleure pour moi(s) eest celle qui a été(ce la que était) interprétée par (pour) son créateur: Jacques Brel, un belge bon vivant qui(e) vivait à Paris et qui(e) l’a écrite (écrivait) après (d’)avoir ête abandonné par la femme qu'il aimait (pour son amant).
Ils avaient (ont) vécu un amour fou pendant plus de cinq années mais il n'a pas été courageux (un couard) et n’a pas été (etait pas) capable de quitter (laisser) sa véritable femme et ses enfants (fils). Finalement, après l'avoir (été) humiliée plusieurs (de) fois, (et) quand sa maîtresse (son amant) a été enceinte, il l’a obligée (oubliée) à avorter(é) et elle l’a abandonné.
En écoutant la chanson, vous réalisez que c'(s’)est une tentative désespérée et très pathétique de retrouver(é) l’amour perdu.
Il a même été critiqué par ses propres amis pour une phrase dans laquelle il se compare à un chien.
« ...laisse-moi devenir l’ombre de ton ombre
L’ombre de ta main
L’ombre de ton chien
Ne me quitte pas.... »
13/20
13/20