Rédaction « Ma référence »

• Plus je vieillis, plus je suis fière de ressembler à ma tante Irene, ma référence. Une femme moderne, qui(e) bien qu'elle n'ait pas eu d' (malgré non avoir eu des) enfants, nous (ma sœur, mon frère et moi) a aimés(e) énormément. Elle a été une femme en avance sur son temps, la première femme de ma famille qui a voyagé(e) ailleurs, qui a obtenu le permis de conduire, une femme d’affaires couronnée de succès, forte et indépendante. 
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• Durant mon adolescence, ma tante et moi avons eu une relation typique et à (en) ce moment-là j’ai commencé vraiment à apprécier sa(la) compagnie (de ma tante). On se téléphonait pour parler de tout et de rien et(est) spécialement de cuisine. C'(Elle) est une cuisinière formidable, parce qu'elle a eu un resto pendant 30 ans. Par conséquent, nous échangeons des recettes et nous nous donnons des conseil(le)s de préparation et de nouvelles techniques. Les desserts sont ses préféré(e)s. 
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• Quand j’étais petite tous les gens pensaient qu’elle était ma mère, et ma mère se mettait en colère chaque fois qu’on disait que je suis à l’image de ma tante, un véritable exemple à suivre.

13,5/20

Les zoos humains

Les zoos humains

L’histoire de l’humanité raconte des événements vraiment horribles et sinistres, mais une des choses les plus terrifiantes pour moi de l’égoïsme humain sont les zoos ou les cirques. Que (Bien si) ces endroits emprisonnent des personnes ou des animaux, la cruauté de la détention forcée et de les(’)obliger à realiser des spectacles vexants (dénigrants) est à mon avis une manière d’esclavage comme dans les (aux) temps médiévaux.

Bien qu'on puisse (pourrait) dire que les zoos humains ont pratiquement dusparus (sont pratiquement éradiqués), ils ont marqué une étape très longue de l’histoire de(ès) son debut avec les expositions de personnes très peu connues comme les albinos, nains ou bossu(e)s, et les collections de personnes des différentes ethnies que certains hommes puissants avaient, jusqu’aux(à) grandes expositions nationales(ux) comme l’exposition coloniale de Paris de 1931.

Aujourd’hui, il y a beaucoup de problèmes humanitaires qui se passent dans le monde et qui nécessitent des changements urgents, mais à mon avis, je pense que la situation des animaux en ce qui concerne les zoos est préoccupante.

Cirques, traf(f)ic illégal, exploitation et maltraitance… ça englobe brièvement ce que les esclaves d’autres pays ont dû passer(é) pendant tous ces siècles où les zoos humains étaient légaux.

Tous ces problèmes ont commencé avec une situation très simple et qui(e) malheureusement existe encore dans notre société : le concept historique de la suprématie de l'homme blanc sur toute autre race humaine et animale. Cette mentalité a causé de nombreuses guerres et assassinats et cela dure encore aujourd’hui, mais elle a eu plusieurs manières de se manifester : le colonialisme, l’esclavage, le racisme, l’apartheid, l’holocauste… des étapes qui ont précédé la pauvreté et l’exploitation que traversent de nombreux pays en Afrique et en Amérique du Sud, qui sont d'anciennes colonies.

Bien que les démocrat(c)ies européennes garantissent l’égalité des droits humains, le capitalisme est le système (issu (original) de la culture occidentale) qui gouverne le monde entier et qui provoque la plupart des situations de précarité dans les pays sous-développés, et donc (pour tant) d’une forme ou d'une autre la supériorité de l’homme blanc continue à (d)’apparaître dans la vie quotidienne de tout individu.

Enfin, nous sommes nés avec la chance sous le bras : dans un pays sûr, une famille qui nous aime et nous offre tout(e) ce qu’elle peut pour notre avenir et une bonne situation économique. Beaucoup d’entre nous ne comprendront(a) jamais ce qu’(est-que-c’)est la vraie précarité mais il n'est jamais trop tard pour offrir notre aide à ceux qui en (la) souffrent.

Annelies De Beleyr 


Bon travail Annelies 15/20